Autres Métiers
L’usine à talc. 1911.
Il s’agit d’une usine de fabrication de poudre cuprique mise au point par un ingénieur agronome de Carcassonne. M. Sylvestre, (grand’père de André Sylvestre qui fut le directeur jusq’à la fermeture début des années 2000) qui a participé à son évolution notamment en ce qui concerne la création des installations jusqu’en 1956, date à laquelle il fut remplacé par son fils Jean Sylvestre, jusqu’en 1983.
il était alors premier adjoint au maire. En 1931 elle devient l’usine Kulhmann et broie du feldspath acheminé par voiture à cheval depuis Salvezines.
En 1957 elle est rattachée à la filiale de Kulhmann : la Sté Commerciale pour l’Agriculture et l’Industrie (SCAI).
En 1958, cette usine est la première à transformer le souffre de LACQ à la cadence de 40 tonnes en 8 h, conditionné en sacs en papier.
Cet atelier était équipé de turbines hydroélectriques alimentées par un canal d’amenée depuis la rivière. S.C.A.I. devint SEDAGRI en 1970, associée en 1972 à la C.M.P.C. Elle ferma ses portes début des années 200
Atelier de fabrication de briquettes de sciure de bois 1925.
La presse entourée du personnel affecté à la fabrication de ces briquettes, autre activité de l’usine, qui servaient à alimenter les gazogènes. De gauche à droite : François Massette, Pierre Sylvestre, Marius Sylvestre, François Rivière, Baptiste Rougé dit “Picalou”.
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La cave coopérative et les vignerons aux vendanges.
Dans les années 1950-70, certains véhicules » roulaient » au gaz. le camion de Monsieur Coste était leur Station Service d’approvisionnement.
Les Transports Moulines précurseurs dans les transports en commun motorisés
Garage Sandragné, situé rue Pasteur ancienne rue du Port?
Garage Moderne Fabia-Veglio situé avenue Pasteur ancienne rue du Port.
Figures Quillanaises, à préciser
Les Messageries Paul Marsan.
Installées au n° 7 de la rue du Port face à l’Hôtel Moulines, (actuelle rue Pasteur) elles assuraient en diligence le service Quillan-St-Paul de Fenouillet. Paul Marsan possédait également des voitures découvertes à l’usage des touristes, telles que breaks, cabriolets, buggyS, etc…
Messageries Jean Paulin en 1926.
Dans cet ancien relais de diligences du XIX° siècle ouvrant sur la Promenade non loin du Monument aux Morts, la mère de Paulin Jean, grand-mère de Paulette Alibert, avait créé, dès l’avènement du chemin de fer, un service de voiture à cheval pour le transport des paquets depuis la gare.
Son fils Paulin, son petit-fils François, et son arrière-petite-fille Paulette, continuèrent cette activité jusqu’au jour où cheval et carriole furent remplacés par un camion.